Quelle: Wikipedia
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Prudhomme, Sully (eig. René François Armand), Schriftsteller und Nobelpreisträger (1839-1907).
Eigenhändiger Brief mit Unterschrift Chatenay-Malabry, 29. V. 1903, Kl.-8°. 1 Seite. Patentbrief mit rückseitiger Adresse und Frankatur.
275 €
An Jean Finot, Direktor von "La Revue" in Andilly bei Montmorency: "Ah! [...] que vous êtes gracieux et fidèle à vos charmantes habitudes! J'ai reçu le somptueux lot de thé russe que vous m'avez fait parvenir. Le dernier n'était pas encore complètement èpuisé. C'est un thé merveilleux que je ne prodigue pas aux profanes [...] Je souffre toujours cruellement. Je me distrais de mes douleurs néuralgiques en continuant mon étude sur Pascal interrompu depuis plus de dix ans! C'est un besogne absorbante."An Jean Finot, Direktor von "La Revue" in Andilly bei Montmorency: "Ah! [...] que vous êtes gracieux et fidèle à vos charmantes habitudes! J'ai reçu le somptueux lot de thé russe que vous m'avez fait parvenir. Le dernier n'était pas encore complètement èpuisé. C'est un thé merveilleux que je ne prodigue pas aux profanes [...] Je souffre toujours cruellement. Je me distrais de mes douleurs néuralgiques en continuant mon étude sur Pascal interrompu depuis plus de dix ans! C'est un besogne absorbante."zzgl. Versandkosten
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Prudhomme, Sully (eig. René François Armand), Schriftsteller und Nobelpreisträger (1839-1907).
Eigenhändiger Brief mit Unterschrift Paris, 26. XII. 1891, 8°. 2 Seiten. Doppelblatt. Gelocht.
250 €
"Monsieur et cher confrère | Je vous envoie les épreves de mon article: j'y ai trouvé plusieurs corrections encore à faire. Si le temps ne presse pas trop, je serais aise d'avoir de nouvelles épreuves; sinon, je vous serais certainement obligé de vouloir si les corrections ont été faits. La suite de mon article s'allonge indifiniment et prend un caractère si technique que j'en suis effroyé [...] Vous en serez juge. Je me suis engagé, sans le vouloir, dans une étude qui n'a rien de réjouissant. Déjà M. Jules Simon avait trouvé un peu abstruse pour les lecteurs de la revue de Famille l'article de Darmstetter. Que pensera-t-il du mien? Je suis fort inquiet [...]""Monsieur et cher confrère | Je vous envoie les épreves de mon article: j'y ai trouvé plusieurs corrections encore à faire. Si le temps ne presse pas trop, je serais aise d'avoir de nouvelles épreuves; sinon, je vous serais certainement obligé de vouloir si les corrections ont été faits. La suite de mon article s'allonge indifiniment et prend un caractère si technique que j'en suis effroyé [...] Vous en serez juge. Je me suis engagé, sans le vouloir, dans une étude qui n'a rien de réjouissant. Déjà M. Jules Simon avait trouvé un peu abstruse pour les lecteurs de la revue de Famille l'article de Darmstetter. Que pensera-t-il du mien? Je suis fort inquiet [...]"zzgl. Versandkosten
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