Beschreibung
An den Publizisten Henry Reeve (1813-1895) mit einer Einladung und mit der Entschuldigung dafür, dass er sie nicht persönlich überbringe: „[…] Je viens d’ecrire à Monsieur Morley pour le prier de venir souper avec moi demain (après le Concert de Benedict). Si je n’etais tellement pressé par le temps, j’irai moi même vous demander de me faire le plaisir de laccompagner; mais dans ce gouffre de Londres, les distances sont si incommensurables …. et je suis chargé d’un telle quantité de commissions, affaires, etc. etc. Soyez donc assez aimable pour accepter mon invitation ecrite, telle quelle, afin que nous ayons au moins le loisir de nous dire adieu et à Revoir avant mon depart de Londres. Veuillez bien agreer […] l’expression des mes sentiments les plus distinguées et les plus affectueusement devouées […] Le rendez vous est […] chez Very, Regent Street.“ – Reeve war Augenzeuge von Liszts Zusammenbruch im April 1835 auf der Pariser Konzertbühne und hat einem bewegenden Bericht davon überliefert (vgl. Walker, Bd. I, 204). Am 9. und 19. Juni 1840 gab Liszt zwei Konzerte in London, wie Reeve in seinem Kalender festhielt. – Auf der vierten Seite eigenh. Schenkungsvermerk mit Unterschrift seines Schülers, des schottischen Pianisten Frederic Lamond sowie Bleistiftzeilen des Beschenkten von 1946.