Beschreibung
Charmante Brieffolge in deutscher und französischer Sprache an die Musikergeschwister Emil und Ottilie Michael in Berlin und Bukarest. Beide zählten zum Hofstaat der in den Briefen öfter erwähnten Prinzessin Elisabeth zu Wied, ab 1881 Königin von Rumänien (Pseud. Carmen Sylva; 1843-1916). – 14 II. 1910: „[…] Je travaillerai avec l’orchestre 1) ‚la Prière de Wessobrunn‘ (que j’ai composé en été pour Choer et Orchestre) [op. 82] mais sans Choeur; et 2) ma III. Suite pour Orchestre et orgue, qui sera éxécutée le 5. Mars au Concert de la Hochschule […]“ – 25. XI. 1910: „[…] Comme j’ai donné ma démission au gouvernement, je ne viens plus à la Hochschule […]“ – 2 XI. 1912: Über einen Gefallenen im Balkankrieg „[…] quel bonheur que la Reine, cette femme adorable, est près de vous et vous rafraichit avec sa main bienfaisante le front […]“ – 22. X. 1914: „[…] Wir leben noch, aber das Leben ist schwer, obgleich ja die Zeit gross ist. Ganz Deutschland trauert mit Rumänien über den Tod des trefflichen Königs Carol; gerade jetzt fehlt er uns sehr! […]“ – 28. XI. 1914: „[…] Unsere liebe Prinzessin Wied ist Gott sei Dank aus dem schreckl[ichen] Alb[anien] zurück! […]“ – 3. XII. 1915: „[…] Personne chez nous a voulu cette guerre, ni l’Empereur (dont la seule ambition était, dès son avènement au thrône (pouvoir) de maintenir la paix), ni le peuple, ni l’Armee. C’étaient surtout les Intrigues abominables du gouvernement anglais […] qui ont causé cette guerre affreuse […] C’est la Russie, qui sera toujours le plus grand danger pour la Roumanie et pour les autres états du Balcan; dans le cas, que malheureusement la Russie serait victorieuse, la Roumanie serait ruiné – c’est bien sûr! […]“ – Neben den zitierten Kostproben geht es um Verabredungen in der Hochschule, eine Porträtzeichnung, Konzertkarten, Dank für Geschenke, Gesundheitsfragen, Sommerurlaub und ein Weihnachtsmärchen seiner Tochter Margarete (1882-1963) „Peter Holles Weihnachtsfest“. – Mit 8 Beilagen, darunter 3 eigenh. ausgefüllte Eintrittskarten auf Leinen mit U. und 2 Briefe von Bruchs Tochter Margarete.