Beschreibung
Kondolenzbrief an ihren Nachbarn, den Gardeoffizier Napoleons I., Denis Charles Parquin (1786-1845) auf Schloß Wolfsberg bei Ermatingen im Thurgau: „[…] j’apprends avec le plus vif chagrin la mort de votre pauvre Louise, vous devez penser que je la regrette bien sincérement. C’est avec elle que j’ai quitté la France et son attachement a toujours été pour moi une consolation, c’est sur sa fille comme je le lui ai promis, que je reporterai les sentimens que je lui avois voués, j’espère que vous avez du courage pour supporter cette cruelle parte et sa pauvre petite Claire [Parquins Tochter], j’espèrà aussi qu’elle se porte bien il me tarde de la revoir et dites lui bien qu’elle peut compter sur moi. Je savois Louise bien malade; mais j’étois loin de m’attendre à cette fin subite et je comptois hâter mon retour pour la retrouver. Mais dans la crainte qu’elle eût besoin de Mr. Cormann il avoit déjà retoure sa place et partait pour lui porter ses soins lorsque cette triste nouvelle m’est arrivée aussi j’ai doublement regretté mon éloignement, je compte retourner bientôt, je serai bien triste de vous revoir seul sans votre pauvre femme, mais je serai bien aise , aussi de vous porter quelques consolations et de vous assurer de mes sentimens. Louis [ihr Sohn; möglicherweise der spätere Napoleon III.] veut vous écrire il seul comme moi que nous venons de perdre une vieille amie et que cela ne se retrouve pas […]“ – Hortense kam 1815 nach dem Ende der napoleonischen Ära nach Konstanz. Als Hauptwohnsitz erwarb sie im selben Jahr Schloss und Gut Arenenberg und ließ dieses umfangreich umbauen. – Parquin hatte das benachbarte Schloß Wolfsberg 1824 erworben und es zu einer herrschaftlichen Pension und zum Treffpunkt der Bonapartisten umgestaltet. 1822 hatte er Louise Cochelet, die Vorleserin der Königin Hortense, geheiratet. Parquin kam 1836 wegen seiner Beteiligung am Straßburger Attentat in Kerkerhaft, wo er seine Erinnerungen schrieb. – Beiliegend ein lithogr. „Extrait du testament de la Reine Hortense“ (4°. 4 Seiten, Doppelblatt, dat. 3. IV. 1837) sowie ein lithogr. Porträt („Lith. de Delpech“).