Beschreibung
I. (23. I. 1783): Bittet für seine späte Briefsendung wortreich um Verzeihung, da er von einer Reise erst kürzlich zurückgekehrt sei und erbittet die Kopie eines arabischen Manuskripts aus der Königlichen Bibliothek Paris: „[…] On m’a envoié un extrait de Copenhague, qui regarde un manuscrit de Victore Turonensi qui se trouve à la Bibliotheque du Roi, dont on souhaite quelque relation. J’ai l’honneur de Vous l’envoir, et de Vous le recommander, Monsieur. Vous aurez la bonté de consulter votre tems et votre loisir, monsieur, s’il vous est possible de satisfaire à mon ami den Copenhague. En tout cas cela ne presse pas […] Mais c’est moi […] quie viens Vous demander une autre faveur, qui Vous embarassera moins. Il y a dans la bibliotheque du Roi deux manuscrits d’une version arabe du Pentateuque, qui selon la preface a été faite d’Abu-Said. savoir No. 368 et 370. Je connois pas cette version, et il m’interesse beaucoup d’en avoir quelque connoissance, comme je travaille justement sur les versions arabes de la S. Bible. Vous me feriez une bonté sans pareille, et vous m’obbigeriez infiniment, Monsieur, si vous vouliez bien vous donner la peine […] de m’envoier une copie de ces trois versets seulement […] en preuve de la version [Adler gibt im Folgenden die Anfänge des gewünschten Textes in Hebräisch und Arabisch wieder] Aiez la bonté Monsieur de consacrer quelques minutes, pour me faire ce plaisir, et de m’en avertir au plus tot qu’il vous sera possible [… ]“ Erwähnt Barthelemy und Bejot sowie seine Veröffentlichung „Museum Cuficum“. – II. (20. VII. 1783) Mit der Rücksendung eines Buches: „[…] Enfin, Monsieur, je trouve une occasion pour Vous remettre le petit livre que je vous dois, et que je tiens chez moi il y a deux mois sans avoir pû trouver aucun remêde pour le faire partir. La poste s’en auroit chargé, mais de cette façon on Vous auroit fait paier à Paris plus que ce livre en vaut. Aiez la bonté, mon cher Monsieur, de l’agreer comme une marque de mon attention et de mon amitié, et comme un temoignage de ma reconnaissance pour toutes les bontés que Vous avez bien voulû me faire pendant mon séjour à Paris. Aiez la bonté, si cela ne Vous incommode pas, de me marquer en quatre paroles, si vous avez bien reçu ce paquet […]“ Grüßt Barthelemy de Guignes, Dupuy, Brotier, de Gebelin und Bejot und erinnert sich an Louis de Poix. – Etw. stockfleckig. – Beiliegend: Antwortentwurf des Adressaten, dat. Paris Februar 1783. 8°. 2 Seiten. – Adler war Sohn des schleswigschen Theologen Georg Christian Adler. Nach Besuch des Altonaer Gymnasiums studierte er in Kiel und Rostock Theologie und befasste sich bereits damals mit orientalischen Sprachen. „Durch ein Reisestipendium von der dänischen Regierung unterstützt, untersuchte er in den Jahren 1780-82 in Deutschland, Holland, Frankreich und Italien griechische und orientalische Handschriften […]“ (ADB, I, 85f.). – 1783 erhielt er in Kopenhagen eine außerordentliche Professur des Syrischen und 1788 der Theologie. 1792 wurde er Generalsuperintendent des Herzogthums Schleswig.